I. Identité:
Nom: Cooper
Prénom: Drew
Age: 27 ans
Métier:Je suis le majordome de Monsieur Werber et ma fonction me remplit d’une grande fierté. Quoi de plus agréable que de servir une personne que l’on respecte grandement ?
II. Qui êtes vous réellement?
Caractère: Mon caractère ? Honnêtement, tout dépend du hasard chez moi. Les médecins disent que je souffre de troubles bipolaires, mais peu importe. Je n’ai pas besoin d’un diagnostic pour me connaître car après tout, j’en sais beaucoup plus sur moi-même qu’ils n’en sauront jamais à mon sujet. Un instant je suis aussi doux et naïf qu’un enfant, m’amusant de voir la pluie tomber et me contentant d’un rien, et l’autre je vous plaque sous la gorge une lame de boucher, prêt à vous découper en morceaux avec plaisir. Ou plutôt devrais-je dire qu’une certaine partie de moi y prend un malin plaisir alors que l’autre s’en trouve tout simplement amusée. Cette part plus sombre de moi, que je nomme James, je ne la déteste pas. James est certainement moins craintif et plus débrouillard que moi et il sait qu’il faut souvent se salir les mains pour survivre. Pour en revenir à mon côté plus doux, sachez qu’il n’est destiné qu’à de rares personnes. Je n’aime pas les gens en général, pas la peine de s’en cacher, mais je suis d’une indéfectible loyauté envers ceux que je porte dans mon cœur. Je n’appellerais pas cela de la servilité, vraiment quel mot désagréable. Mais voila, c’est cela pour moi, l’amour et j’exprime ce sentiment par une obéissance presque totale envers celui qui a gagné ma confiance et mon affection. Par contre je me montre parfois boudeur comme un gamin trop gâté lorsque l’on me refuse une faveur, c’est plus fort que moi. Pourtant je n’ai jamais été gâté par la vie, nous en reparlerons plus loin, alors je m’explique difficilement ce réflexe presque inné. James déteste cela. Il me dit souvent que dans la vie rien ne sert de se plaindre, il faut agir mais certaines des actions qu’il me recommande me dérangent par le fait qu’elles me forceraient à contredire ma propre philosophie sur l’expression de l’affection par l’obéissance et la loyauté. Malheureusement, ignorer ainsi l’avis de James m’est douloureux car je l’aime et de plus il me le fait souvent regretter… Je ne pourrais cependant vivre sans lui, il est une part intégrante de moi, une dont j’ai besoin autant qu’un nourrisson à besoin de sa mère.
Physique : Je suis assez mignon et croyez moi, je le sais très bien. J’ai ce petit air de chien battu qui fait à coup sûr craquer les filles. Pas seulement elles, en fait… Voila un atout pratique pour qui cherche à appâter des victimes, n’est ce pas ? Un prédateur né, c’est ce que je n’ai de cesse de répéter à Monsieur Werber. Enfin… J’ai aussi une moue boudeuse redoutablement efficace. Rares sont ceux qui peuvent y résister, pareil pour ces grands yeux humides que j’ajoute à l’équation lorsque je veux vraiment obtenir quelque chose. L’effet pourrait paraître pathétique sur n’importe quel autre mâle de plus de dix ans, mais je ne suis pas n’importe quel autre mâle. Quand on me ressemble, on peut tout se permettre. James désapprouve de la moue boudeuse, aussi, parce qu’il dit que c’est dégradant mais il ne se plaint pas quand son utilisation porte fruit. Il sait au moins en reconnaître le côté pratique.
J’avais autrefois la mauvaise habitude de négliger mon corps, ce qui m’a occasionné quelques cicatrices, mais rien de bien vilain. Je suis aussi un peu maigrichon ce qui heureusement contribue à l’image d’homme à consoler que les gens ont de moi. Je m’habille assez chic, cravate et tout, bien que malgré ma fierté cela n’ai pas d’importance pour moi. Mais voila, un majordome négligé, ça ne fait pas sérieux.
Histoire : De ma jeunesse, je ne me rappelle que les moments clefs, de vagues images qui semblent pour la plupart se répéter sans arrêt avec les mêmes protagonistes, avec des changements mineurs. Mon père qui siffle des paroles menaçantes que j’ai apprit à comprendre bien assez tôt en direction de ma mère et celle-ci qui fait semblant de ne rien entendre. Souvent je me met à pleurer et cet homme qui tien le rôle de mon père redouble de mauvaise humeur alors que cette femme qui joue le rôle de ma mère s’enfonce de plus en plus dans sa silencieuse panique. Je revoit ce souvenir de mes multiples journées qui fusionnent en ces quelques images si représentatives de mon enfance. Et puis il y a cet autre souvenir, celui qui me fait mal. Elle est étendue dans une marre couleur sang, cette femme aux si beaux cheveux bruns, et il forment comme une auréole autour de son visage ensanglanté. Ses doigts s’agrippent en vain à un objet qui ne semble pas être la. Ses lèvres sont figées en un grand O et ses yeux regardent le ciel, enfin c’est ce que j’aime à prétendre. Et puis à quelques pas du corps froid de ma mère, il y a mon père qui, d’un air froid et calculateur se prépare à l’emmener faire une balade en voiture. Mais contrairement à ce qu’il avait prévu et à son grand dan, une voisine à remarqué que quelque chose ne va pas et a appelé la police. Et lorsque ceux-ci arrivent, ils peuvent constater tout de suite quel genre d’événement s’est produit ici. C’est ainsi que j’ai perdu mon père et ma mère. J’avais sept ans et une vie misérable devant moi si on en croyait la tendance de mes premières années. On m’a par la suite baloté de familles d’accueils en familles d’accueils et cela jusqu'à mes seize ans. J’ai tout connu du côté noir de l’être humain durant ces pénibles années, de la violence stupide à l’indifférence en passant par la cruauté volontaire. Ces horreurs ont prit fin lors de ma seizième année parce que j’ai enfin prit les choses en main. Je me suis enfuit sans regarder derrière moi. Sur le moment, je trouvais l’idée bonne et je n’ai pas changé d’avis sauf que je ne m’attendais pas à ce qu’il y avait la dehors. Plus personne pour me maltraiter, bien sur, mais aussi une terrible solitude qu’aucun de mes compagnons d’infortune ne pouvait combler. Alors je me suis mis à boire et à me piquer pour emplir ce trou en moi. Je ne sais pas trop comment j’ai survécu à toutes ces soirées (et même ces journées) qui auraient puent se terminer à la morgue. Mais j’ai survécu, sûrement à cause de mon instinct de survie plus puissant que mon désespoir. Oh, et grâce à James. Celui-ci est apparu lors de ma deuxième année dans la rue, au terme d’une expérience hallucinogène mémorable. Je l’entendais mais ne le voyait pas et ça ne m’a pas inquiété outre mesure parce qu’il avait de sacrées bonnes idées. Je sais maintenant qu’il est dans ma tête et je trouve insultant que l’on considère que cela fait de lui une personne moins réelle que vous et moi. Bref, James était mon seul repaire, une sorte de guide qui savait toujours quoi faire. J’ai tué deux fois sur ses ordres, ce qui n’est pas tant que ça en fin de compte. J’en avais besoin pour survivre et lui pour s’amuser et je doit avouer que ce n’était pas désagréable. Mes actions profitaient à nous deux, c’était parfait, aussi parfait que ma vie ne l’avait jamais été. Ne vous méprenez pas, elle était toujours misérable, seulement elle l’était moins.
Et puis un jour tout a changé, et cette fois ce n’était pas grâce à James. C’était il y a maintenant cinq ans. J’ai fait la rencontre la plus surprenante et la plus décisive de ma vie. J’ai rencontré Edward Werber, un homme fantastique ou plutôt devrais-je dire un vampire fantastique. Il aurait put me dévorer tout cru, mais pour une raison qui m’échappe quelque peu il a décidé de me recueillir. Mon hypothèse sur le sujet est qu’il avait besoin d’un majordome et qu’il à reconnu mes superbes qualités personnelles. Je suis assez talentueux, après tout. Toujours est il que ma vie a enfin une utilité. Je n’hésite pas à découper en morceaux ceux que mon maître me désigne et James apprécie aussi. Toutefois nous aimerions bien qu’il accepte enfin de nous vampiriser. Ses refus répétés me rendent boudeur et font dire à James des choses que je n’ose pas répéter à voix haute. Je le convaincrai bien un jour…
Vous et les races :
Connaissez vous les Vampires?Si je connais les vampires ? Vous plaisantez ? Bien sur que je connais les vampires, je vous rappelle que je travaille pour l’un d’entre eux. Comment ça une idée fixe ? Que voulez vous dire ?
Connaissez vous les Lycans?Vous me prenez pour un imbécile peut être ? Ça devient vexant. Je connais l’existance des lycans, de toute évidence. Monsieur Werber les hait. Il à sûrement raison. Sales créatures.
Etes vous un chasseur? Un chasseur né. D’être humain, je veux dire. J’ai mieux à faire que de passer mes journées à poursuivre des vampires et des cabots.
Amoureuses: De quel genre d’amour parlons nous ici? Je ressent des sentiments très forts envers une certaine personne mais de la à dire qu’il s’agit de ce sentiment qui rend les gens tout mous et inneficaces…
Amicales: Le seul ami que je possède est James. Un ami fidèle en ce sens qu’il ne me laissera jamais seul. Nous ne pouvons vivre l’un sans l’autre…
Conflictuelles: Parfois j’aimerais bien que James me laisse tranquille. S’il l’apprend il me fera regretter d’avoir même pensée une chose pareille...
III. Vous derrière votre écran:
Pseudo/Prénom:Moony ou Marianne, au choix.
Age: 17 ans…demain tiens ! Yeah.
Comment avez vous découvert le forum? Partenariat sur mon forum, London in war.
Votre présence? Selon moi, 7/10
Personnalité sur l'avatar: Jude Law
Fiche terminée? Oui.
Code du réglement? [Code Ok by Ivy] Un commentaire? J’ai extrèmement hâte de commencer à jouer sur ce super forum. ^^